Helmut Lachenmann : musica viva vol. 24

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Numéro d'article: NÉOS 11424 Catégorie:
Publié le : 27 novembre 2015

Programme:

 ... Deux sentiments ..., musique avec Leonardo pour conférencier et ensemble (1991/1992) 18:58

 Écriture, musique pour orchestre (2002/2003, nouvelle version 2004) 22:31

Temps de jeu total 41:39

Helmut Lachenmann haut-parleurs [01]

Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks
conduit par Peter Eötvos [01] / Susanna Malki 

presse:

« Paysages sonores furieux »

Le 2.3.2019 mars XNUMX Dr. Jürgen Schaarwaechter vers le haut www.classik.com:

Le langage tonal d'Helmut Lachenmann fascine dès les premières mesures. (...) Dans les deux œuvres, l'Orchestre symphonique de la radio bavaroise est non seulement bien préparé, mais aussi très inspiré et plein de couleurs. L'enregistrement de juillet 2011 sous la direction de Susanna Mälkki n'est en rien inférieur à la première du CD sous la direction de Sylvain Cambreling.

Lire l'avis complet ici

 

Rainer Nonnenmann écrit dans le numéro 2.2017 :

« Grâce à une grande clarté, les deux pôles de cette musique sont particulièrement bien compris : d'une part, le texte de Léonard de Vinci, fragmenté en phonèmes et syllabes individuels, dont l'auditeur peut néanmoins reconstruire sans effort la déconstruction complexe sous la forme d'un flux narratif compréhensible. ; de l'autre, la séquence purement musicale de paroles et de sons instrumentaux étroitement entrelacés, qui se poursuivent et se commentent à un niveau matériel spécifique. (…) Quiconque déchiffre les structures linguistiques entendra inévitablement aussi de la musique, et quiconque écoute les sons suivra également le texte.»

 

06/16

05/2016

"...deux sentiments..., musique avec Leonardo (1992) s'inspire d'une paraphrase des propres mots de l'artiste (prononcés par le compositeur) dans une pièce qui évoque le danger et l'excitation dans l'exploration de l'inconnu caractérise la propre pensée de Lachenmann. Écrire (2004) le voit étudier les propriétés structurelles du timbre et de la texture orchestrales en termes habilement discrets. Tous deux reçoivent des lectures assurées de la Symphonie bavaroise.

classique

Avril 2016

 


02/2016

Moyen siglo de musique concrète instrumentale

«Pour tratar de superar les influences de Nono, tuve que buscar otro camino, al qui llamé musique concrète instrumentale».

Con estas palabras se refería Helmut Lachenmann (Stuttgart, 1935), en la entrevista que a lo largo del año 2015 with el compositor alemán mantuvimos en Oporto, al processo de superación de la impronta que sobre su aparato estético había recibido por parte de quien fuera su maestro, Luigi Nono, durante los años de formación compartidos con el italiano en Venecia, de 1958 à 1960; impronta cuya influencencia Lachenmann reconoce se extendió a buena parte de su primera production, con ejemplos que en aquella entrevista describía en details, comme la pianística Echo Andante (1961).

Série en 1966, avec la composition de la pieza para percusión Intérieur I, et le comienzo de partituras comme Notturno « Musique pour Juliette » (1966-68), ou le Trio fluido (1966-68), cuando Lachenmann encuentra su propia sintaxis, ese modelo de production sonora articulado a través de la musique concrète instrumentale, fuertemente caracterizado por la fisicidad, el gesto y la application masiva de técnicas extendidas no convencionales a instrumentos tradicionales cuya sonoridad, de este modo, es completeamente reinventada, dentro de todo un concepto artíst ico Mark por significados de corte filosófico, social y politico, más o menos explícitos. Es por ello qu'en 2016 conmemoramos, por tanto, el medio siglo del nacimiento de la musique concrète instrumentale, enlazando con un 2015 en el que el mundo de la música celebró los 80 años del genio de Stuttgart.

La discográfica alemana NEOS se sumó a dichas celebraciones lanzando al mercado, precise el 27 de noviembre, cumpleaños del compositor, dos SACDs con registros tomados en directo en el festival muniqués Musica Viva, provenientes de los años 2011, 2013 y 2014; lanzamientos que han divido en dos compactos que no presentan novedades en cuanto a partituras registradas, y cuya altura interpretativa es desigual, si bien los tres registros comparten la posibilidad de escuchar a una de las orquestas europeas más fuertes en el repertorio contemporáneo, la Symphonieorchester des Bayerischer Rundfunk, formación que nos brinda tres lecturas marcadas por su celeridad : curiosamente, las tres versiones discográficas más rápidas para cada una de estas páginas Lachenmannianas.

Le premier SACD, correspondant au volume 23 du festival Musica Viva au sello NEOS (11423), est intégré à la partitura pour piano et orchestre Ausklang (1984-85), avec Pierre-Laurent Aimard au clavier et Jonathan Nott au clavier. podium. Ce n'est pas la première fois qu'Ausklang visite notre journal [vide reseña], car nous connaissons certaines des touches d'une pièce pour que l'orchestre fonctionne en mode "super-piano", indagando les résonances et les écosystèmes dans l'espace , la combinaison, le son et la composition des timbres, les effets de la guitare, ou encore l'usage intensif de la pédale qui surgit du solo. L'orchestre fonctionne comme un amplificateur de piano, permettant un effet continu et une action instrumentale entre le soliste et la coordination totale, qui prolifère dans diverses directions et messages, sous une forme très attrayante et impressionnante.

Maintenant bien, étant donné que cette nouvelle lecture peca à l'heure ne définit pas complètement les timbres d'un mode à la musique concrète instrumentale, ce qui fait qu'ils ont été accompagnés par une émission de plus de Rome et de convention. C'est aussi, en partie, un prolongement de l'orchestre et de la conception du piano de Pierre-Laurent Aimard, mais la satisfaction d'une partitura comme le finale, si bien qu'elle a une attraction gravitationnelle sans comparaison entre les deux ainsi que Messiaen, Ligeti, o Kurtág, qui est le propio Lachenmann, au moment de son éclosion et du caractère de ses interventions. Ainsi, Aimard expose des tonalités de forme très complètes, définies et « belles » dans un sentiment qui considère aucun de tout l'imbuido de la nature que cette musique précise : beaucoup plus rugueuse et ruidiste, à pesar de que nous sommes avant l'une des partitions Lachenmannianas donde La pensée armonique s’inspire d’un mode plus explicite. Comme vous pouvez le constater, pendant les moments de l'Orchestre Symphonique de la Radio Bavaroise, nous avons entendu parler du Verdadero poderío, qui a ensuite recommandé comme référence en Ausklang la grabación -également en vivo- de Ueli Wiget au piano avec Markus Stenz à la direction de l'Ensemble Modern Orchestra. (Ensemble Modern Medien EMCD-003), dans un registre beaucoup plus « idiomatique », qui n'a que la recommandation maximale possible lors des études en avril 2008. Nous avons également commencé une lecture par partie de Stenz más paladeada, avec son 54:40 minutes de durée Avant les 48:13 de Jonathan Nott, une précaution pour que certains compas ne soient pas déjà exigeants pour que ces spectres armoniques soient fleuris, pour que les capacités instrumentales respirent et perçoivent leur définition comme dans la version de Wiget et Stenz : más acerada, extrema et furibunda. Inclus dans la version d'Aimard et Nott dirigée par Peter Eötvös en 1986 au début du Kölner Rundfunk-Sinfonieorchester, avec Massimiliano Damerini comme soliste - interprètes de la star - (col legno WWE 1CD 31862), avec un piano beaucoup plus proche du son de Lachenmann, aunque la formation de Colonia n'atteint pas le niveau superlativo de l'Ensemble Modern Orchestra.

Ya en el VOLUME 24 de Musica Viva (NEOS 11424), la primera obra que nos encontramos es uno de los grandes clásicos Lachenmannianos: la excelsa “… two feeling…”, music with Leonardo (1992), partitura arquetípica en lo que a la application generalizada de la musique concrète instrumentale se refiere; y, comme à diverses occasions, il sostenido en este diario, una de las piezas verdaderamente ingenious del último tercio del siglo XX. De las ocho versiones de las que dispongo en compacto de esta joya instrumental, sigue para mí siendo referencia la grabación de 1994 a cargo del Ensemble Modern, con dirección de Péter Eötvös (ECM 1789), una version de nuevo totalmente afín al estilo, técnicas y sentido musical de Helmut Lachenmann -que para el conjunto de Frankfurt compuso este fragmento (y contrapunto meridional) de su ópera The Match Girl (1990-96, rev. 2000)-. La version de l'Ensemble Modern comparée à la grabada en el año 2010 par l'ensemble norteamericano Signal, dirigé par Brad Lubman (mode records 252), una radicalidad sin concesiones, una fiereza y una exquisez en la definition de cada acción instrumental que ponen los pelos de punta. Frente a Estas lecturas más agresivas, este nuevo registro de peter eötvös al Frente de la symphonieorchester des bayerischen rundfunks se acercaría más al registro del año 1995 de hans zender con el klangforum wen (kairos 0012202 kai): UNERENA PAURENA PAUNAM , con una definition sonora más classic, menos acerada y expressiva. El sonido de la orquesta bávara sigue esa line, con una definition de peso y ecos tradicionales, lo que no quita que ofrezca pasajes realmente virulentos e impactantes, además de que la magnífica grabación pone muy en primer plano todo el pasaje central de la partitura, de dinámicas y tecnicas tan sigilosas como refinadas. Es por ello que, en conjunto, y desde un punto de vista instrumental, estamos ante una versión notabilísima, no tan perfecta como la del Ensemble Modern, pero con cierto sabor añejo que le confiere un poso distinto a esta página.

Lo que sí merece una considération especial en este concierto del festival Musica Viva 2014 es la narración del texto de Leonardo da Vinci (en traduction al alemán de Kurt Gerstenberg) a cargo de Helmut Lachenmann. De las cuatro versiones en disco que comparten a Lachenmann como narrador (en la versión revisada para una sola voz, dentro del original para ensemble), esta me parece la más satisfactoria por claridad, balance con el conjunto instrumental, ritmo, dicción y presencia de la otra capa textual, con el recitado por parte de los instrumentas del poema de Nietzsche. Hay en Lachenmann ese carácter que él decía para esta narración de "máquina fonética", pero además su voz alcanza ahora más gravedad y matices, se comprende e integra mejor el texto, y su lectura ha adquirido una musicalidad más densa y aquilatada. Este sería, así pues, el punto más fuerte de esta versión, lo cual, unido a su muy buena grabación, la hacen digna de conocer y disfrutar.

Por último, la segunda edición en disco compacto de la partitura orquestal writing (2002-03, rév. 2004), obra que ya visitó nuestro diario tanto por su interpretación a cargo de la Orquestra Sinfónica do Porto Casa da Música [reseña vierge], sous la direction de Matthias Hermann, como por su grabación por parte de la SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg, sous la direction de Sylvain Cambreling (Kairos 0013342 KAI), and at a disco que reseñamos in junio de 2015 valorando ya entonces las bonds de aquella toma en vivo del festival berlinés MaerzMusik 2006. Lo que ahora no ofrece NEOS it a new version in directo, grabada el 8 de julio de 2011, with the Bavarian Radio Symphony Orchestra conducida por the Finlandesa Susanna Mälkki. En la entrevista que con Helmut Lachenmann mantuvimos el pasado año, el compositeur afirmaba que los músicos bávaros «tocaron maravillosamente, increíblemente bien» écrit, pues a esta versión qu'ahora publica NEOS se refería. Quede de manifiesto, por tanto, la muy positiva valoración del propio Lachenmann…

…sin embargo, yo no sería tan optimista como el compositor, al menos si comparo esta nueva grabación con la dirigida por Sylvain Cambreling a la orquesta de la SWR, que me parece mucho más afín (de nuevo) al estilo Lachenmanniano : más aristada, plus défini, plus enfática y arrojada. Además, presenta una duración considerablemente mayor (26:41 minutos, la de Cambreling; por 22:31, la de Mälkki), que el director francés emplea en dejar respirar esas irrupciones orquestales de forma más espaciada, de modo que las resonancias ganan en cuerpo, la grafía sonora se perfila y write en el silencio de un modo más nítido. Asimismo, los numerosos rastros de la tradición que writing incorpora, disemina y reformula, creo que son entendidos de un modo más adecuado por Cambreling, con mayor poso y contundencia, mientras que Mälkki los pasa un tanto por encima, despojándolos de la potencia expresiva y del aura que su irrupción comporta en un entramado que podria parecerle -a priori, aunque parte de un mismo rizoma artístico- totalmente extraño. De este modo, la sutileza y el sentido dialéctico que Lachenmann tiende desde writing a la historia se desdibuja y pierde fuerza en manos de Mälkki ; Presentando mejor cuerpo y carácter la version éditée par Kairos.

Las grabaciones, como ya hemos adelantado, son muy buenas, aunque no tan en primer plano (y agresivas) como las de Kairos (SWR) y ECM (Hessischer Rundfunk) para algunos de los registros ya comentados. En este caso, le Bayerischer Rundfunk opta por unas tomas muy equilibradas y naturales, algo de agradecer, with resultados especialmente brillantes a la hora de registrar la voz del compositor en "... two feeling...", musique avec Léonard. Los compactos presentan, además de un attractive diseño, fotos y datos de los interpretes, el texto de "... two feeling…" y ensayos a cargo de Andreas Günther, escuetos pero bien sintetizados e informos. To do ello redondea una new aportación a las celebraciones por los 80 años de Helmut Lachenmann, en registros que, si bien no referenciales, sí nos brindan, al menos, una muestra de la narración del propio compositor en una de sus piezas basices llamada a permanent.

Paco Yanez

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